A Lubumbashi une ville de la RDC, se déplacer et arriver à temps voulu à destination, est devenu un casse-tête car la situation du trafic routier dans les artères principales de la ville de Lubumbashi est très embarrassante.

Je m’appelle Christophe KABULO, j’habite à Lubumbashi.

D’habitude pendant la journée quand je me déplace à bord du bus vers le boulot ou vers un autre coin de la ville, je constate que le bus se déplace de façon fluide car il y a peu de véhicules sur la route. Et comme le trafic est fluide, j’arrive aussi à temps à la destination.

Toujours pendant la journée certains tronçons sont presque vides, sans véhicules et cela nous permet de traverser facilement la route.

Mais depuis un moment, en des heures de la soirée surtout entre 16h30 et 20h00 quand je rentre à la maison je me retrouve dans des embouteillages et souvent c’est au niveau des carrefours et certaines artères principales.

Et Suite aux embouteillages, je mets le double voire le triple du temps normal.

De fois même, je reste à bord du véhicule durant  plus d’une heure parce que les véhicules sont nombreux dans la file. En tant qu’usager de la route, je constate que les embouteillages ont des conséquences néfastes sur le déroulement de nos activités, nous les habitants de Lubumbashi.

Parmi ces conséquences je peux citer :

• L’attroupent des personnes sur des arrêts de bus,
• L’attente prolongée des bus à l’arrêt,
• La rentrée tardive à la maison pour des personnes dont les activités vont jusqu’au soir,

Après avoir très bien  analysé la situation d’embouteillages à Lubumbashi,  je comprends que les embouteillages récurrents sont consécutifs :

• A la croissance démographique,
• Et au fait que la grande partie de la population est maintenant capable de se procurer un véhicule

Ainsi donc pour réduire les embouteillages dans des artères principales à des heures de pointe, je propose aux autorités de réorganiser la ville en érigeant des routes secondaires et en prévoyant aussi des espaces pour la circulation des vélos et des bicyclettes.