Quand je me déplace à Bruxelles, je vois souvent de la pauvreté. Mais il y a aussi beaucoup de pauvreté qu’on ne voit pas. Il est temps de trouver de bonnes solutions.
Moi j'ai eu la chance de pouvoir faire des études et de ne pas avoir connu des problèmes financiers. C'est pour ça que j'ai du mal à voir d'autres personnes en pauvreté.

Quand je me déplace à Bruxelles, je vois souvent de la pauvreté. Je vois des gens en pauvreté aux gares, au feux rouges et dans la rue neuve à Bruxelles. Mais il y a aussi beaucoup de pauvreté qu’on ne voit pas.

La vie devient plus chère et beaucoup ne parviennent plus à payer leurs frais. Ceux qui arrivent à payer leur loyer, ont souvent des problèmes comme de l’humidité dans les murs ou n’ont pas les moyens de payer le chauffage. Il y a aussi un manque de logements sociaux.

Beaucoup de Bruxellois ne trouvent pas facilement d'emploi. Surtout quand ils n'ont pas encore fini leurs études. Ils se retrouvent alors dans la rue ou ils doivent vivre d'un revenu de remplacement. Il y a bien sûr des exceptions. Certains dépendent de la boisson ou la drogue. Il y a moins d’opportunités pour ceux qui souffrent d'un handicap mental ou physique.

Pour ne pas tomber dans la pauvreté, il est bien de s'entourer de personnes qui veulent toujours avancer dans la vie. Les gens ont besoin d'aide pour se débarrasser de leurs dépendances. Ils ont besoin d'une vie plus structurée pour obtenir un emploi. On devrait aussi éduquer les personnes qui ont connu de la malchance, afin qu'elles puissent reprendre leur vie en main.